S’il est un domaine pour lequel le bilan du précédent quinquennat serait plut.t flatteur, c’est bien l’art urbain. Les ann.es 2012- 2017 ont .t. jalonn.es d’une série d’événements qui tous attestent une volonté de valoriser et accompagner le ph.nom.ne. En 2014, il y a d’abord eu la MNACEP (Mission Nationale pour l’Art et la Culture dans l’Espace Public) organisée par le Minist.re de la Culture, qui a permis pour la premi.re fois de faire le lien entre street art et arts de la rue. Surtout, il y a eu Oxymores. Déclin. d’avril 2015 . octobre 2016 sous les formes d’une exposition collective, d’une série de commandes publiques et d’un colloque international, l’événement a clairement marqué l’engagement du ministère en faveur de la création en espace public. Du coup, en plein contexte électoral, on se prend contre toute attente à rêver de continuité plutôt que de rupture. Bien des chantiers attendent le nouveau gouvernement en mati.re d’art urbain. Parmi eux, un soutien financier accru aux projets comme Art Azoï, le MAUSA ou Street art city, mis en lumiére dans ce numéro… Cet engagement bénéficierait à tous les acteurs de l’art urbain. à commencer par les artistes et les galeries qui les soutiennent ! Vive la république, vive l’art urbain, et vive la France !
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